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5. Temple d’Angkor Vat, restauration d’un Kong de la galerie du Bakan :

Le groupe d’experts Ad Hoc note avec satisfaction la proposition et souhaiterait obtenir plus d’informations. Ces dernières feront l’objet d’un rapport qui détaillera l’état de l’objet lors de sa découverte et la nature des matériaux endommagés et si possible les preuves des techniques de fabrication de l’objet et de son usage.
La restauration de ce Kong devra se faire en laboratoire dans la mesure où cet objet est transportable.

Le groupe d’experts Ad Hoc prend note de l’importance de la documentation déjà produite et recommande d’utiliser la radiographie aux rayons x, une des méthodes les plus banales et potentiellement très utiles pour l’analyse d’objets anciens en métaux.

Le groupe d’experts Ad Hoc prend note et apprécie les solutions proposées par l’équipe APSARA lors de la phase 7 qui s’appuient sur le conseil de leur professeur et recommande qu’un tel objet en métal ancien soit étudié en utilisant un microscope à faible voltage.

Le groupe d’experts Ad Hoc recommande l’utilisation de petits outils (aiguilles, sondes en bambou, scalpels, pinceaux et brosses en fibre de verre).

Néanmoins, le projet propose de déposer ensuite cet objet restauré au musée de l’Autorité nationale APSARA, ce qui est souhaitable pour la conservation de l’objet, mais dommageable pour le monument qui perd ainsi un élément important de la vie du temple.

Ne conviendrait-il pas alors d’accompagner ce projet par la réalisation à l’identique d’un instrument neuf, une copie moins fragile qui serait remise en place avec bien sûr signalétique et explications.