4ST.3

 

3. À la question liminaire : veut-on faire de la Cité d’Angkor une cité « morte », en ne se préoccupant que de la réhabilitation des monuments archéologiques. ou « vivante » en intégrant les préoccupations humaines aux préoccupations archéologiques afin d’assurer la continuité de la civilisation khmère ? Les trois groupes de travail ont unanimement répondu à une question du Ministre d’Etat : Angkor « vivant » et Angkor vivant avec l’eau car sans elle ce serait un Angkor mort.