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3. Les experts ont noté le caractère aléatoire présidant au choix des chantiers de restauration actuellement mis en œuvre.

Il leur semble important que le Gouvernement Royal du Cambodge et plus particulièrement l’Autorité APSARA puissent, avec le concours du CIC, orienter chaque nouvelle équipe “candidate” vers les monuments présentant des besoins prioritaires.

Pour ce faire, il reste à définir en matière de conservation et restauration monumentale, un Plan directeur simple classant par ordre de priorité les monuments à restaurer et les programmes à mettre en œuvre selon des critères techniques objectifs.

 Ainsi ils ont, par exemple, regretté qu’un certain nombre de temples importants ne fassent pas l’objet d’une intention de travaux (Phnom Bakeng, Mébon oriental,…).

Il a également été souligné inquiétant que les dévers évolutifs signalés depuis plusieurs années sur la galerie nord d’Angkor Vat n’aient pas encore donné lieu à une étude diagnostic approfondie ni même à la mise en place d’une instrumentation de contrôle minimale.